Le Raspberry Pi est un tout petit ordinateur qui a été conçu qu départ pour faciliter l’enseignement de l’informatique. Peu cher il permet de faire sauter l’excuse du coût d’achat d’un ordinateur pour commencer à apprendre à développer. Les Makers de tous poils se sont appropriés cet outil pour leurs développements et projets personnels. Bon nombre de capteurs et composants peuvent être ajoutés au Raspberry pour étendre ses capacités. Le problème se corse dès lors que l’on veut rajouter beaucoup de capteurs. Matrix Creator permet de transformer le Raspberry Pi en … à peu près tout ce que vous voulez.

Si l’on veut étendre les capacités du Raspberry on peut acheter des clés USB comme des dongles USB permettant qu’il puisse parler Z-Wave par exemple. On peut également acheter des cartes électroniques lui permettant de lire des badges RFID par exemple. Si vous avez des connaissances en électronique vous pouvez également créer vos propres circuits afin de lui apporter les fonctionnalités qui vous intéressent mais qui lui font défaut.

L’entreprise MATRIX Labs commercialise depuis peu une carte pour les Raspberry Pi, Matrix Creator, qui lui apporter de très nombreux capteurs et composants communicants afin de le transformer en objet connecté, aux nombreuses capacités. Tout ce que vous aurez à faire c’est de la brancher sur les ports GPIO du Raspberry Pi  (version 3 minimum), et de commencer à coder votre objet connecté.

Je ne boude pas le plaisir de vous lister les composants qui équipent la carte Matrix Creator:

Capteurs et composants

The Matrix Creator fait du Raspberry Pi un multicapteur pour l’IoT

Cet article vous a été concocté par Abavala !!!

Vous l’aurez peut être remarqué mais je n’étais pas trop inspiré pour le titre de l’article du jour. Cela dit lorsque j’ai croisé, au gré de mes lectures, le produit / concept du jour je me suis dit que l’innovation dans le domaine des WC n’était pas des plus répandues. Ce qui est vrai dans nos contrées le serait moins au Japon par exemple. Là bas, ils ont droit aux lunettes chauffantes, nettoyantes et musicales. Le produit du jour trouve plutôt sa place dans les toilettes en tant que solution anti propagation de germes.

Le concept du déclencheur de chasse d’eau du jour est tout simple. Chacun a ses habitudes en terme de de toilettes. Faites le test autour de vous. Certains tirent la chasse d’eau avant de se laver les mains et d’autres après. Dans la population restante soit ne tirent pas la chasse d’eau soit ne se lavent pas les mains. Pour ces derniers point de salut technologique sans un minimum de savoir vivre et d’hygiène publique.

Le problème de prolifération des germes serait plus simple si dans cette pièce tout pouvait se faire sans contact. On connais bien les robinets dont l’eau coule après une détection de vos mains. Cette technologie a été adaptée au savon liquide et au séchoir à mains. Il ne reste plus que la chasse d’eau sans contact. Il y a certes des systèmes de détection de proximité  qui peuvent jouer des tours si l’on est un enfant. Il y a du vécu tout comme lorsqu’un enfant passe en dessous d’un sèche main automatique: décoiffage assuré concomitant au sursaut…

Le système que j’ai croisé récemment utilise des technologies éprouvées de détection de mouvements: les barrières infrarouge. Positionnez les 2 pièces créant un faisceau infrarouge se faisant vis à vis. Coupez le faisceau invisible d’un geste de la main et grâce à cet interrupteur sans contact l’eau est libérée dans la cuvette. Simple, propre et hygiénique.

Ce concept de « Cut The Red Line » à été primé à l’occasion des Lite-On Awards 2015 on la doit aux designers: Yu-Ting Yen et Tzu-Chun Tsai. Ce prix en 2016 récompensera des idées innovantes mettant en oeuvre l’optoéléctronique et qui doit proposer des solutions éco-responsables en se basant sur des technologies intelligentes.

Le concept de couper la ligne rouge introduit une once d’innovation qui est pas nouvelle pour les toilettes, mais est certainement nouvelle en termes de son application. Peut-être que si l’on incluait une composante de lumière ultraviolette, nous pourrions rincer les toilettes et purifier nos mains en même temps!

Source

La tech dans les toilettes trouve aussi sa place dans la chasse

Cet article vous a été concocté par Abavala !!!

En cette période de mariages et de fêtes de fin d’années scolaires, il est important de pouvoir figer les souvenirs en photo ou bien en vidéo. Pour faciliter le déclenchement au bon moment ou avec le meilleur cadrage possible. Nodon a prévu une petite télécommande pour smartphones. Pour faciliter l’ouverture du portail, afin d’accueillir les invités, la petite télécommande est également la bienvenue. Elle pourra toujours être utilisée pour déclencher le feu d’artifice en fin de soirée. Cette télécommande à (presque) tout faire s’appelle Niu. En voici mon petit test.

Something old…

Niu (à prononcer « niou« ) est le tout nouveau produit lancé par Nodon. Il s’agit d’un tout petit bouton connecté au design caractéristique qui a participé à faire le succès de la Soft Remote. Avec ses couleurs gaies et acidulées il apporte indéniablement une touche sympathique dans nos intérieurs.

Connecté au Smartphone qui est son compagnon de travail, avec Niu vous allez être capable de déclencher plusieurs actions à distance sur votre smartphone. Cette connexion est assurée grâce au Bluetooth Low Energy alias BLE.

Jusque là il n’y a rien de nouveau. Le look est connu, les premières fonctionnalités également. Mais, si l’on regarde d’un peu plus prêt ce petit bouton Bluetooth on s’aperçoit rapidement que l’on n’est pas du tout d’un objet à relégué au rayon du « déjà vu ».

Alimenté par une pile CR2032, sa batterie est tout à fait classique et standard également.

Something new…

Même si le lien de parenté avec la télécommande Soft Remote ne peut pas se renier, la petite télécommande Niu se distingue de sa grande sœur dans sa conception. Elle fonctionne en Bluetooth alors que la Soft Remote est à ce jour disponible en EnOcean ou bien en Z-Wave.

Elle ne comporte qu’un seul bouton contre 4 pour son aînée. Elle est également totalement étanche pourra de ce fait trouver des applications dans des milieux plus qu’humides.

Pour utiliser le Niu c’est tout simple: il ne possède qu’un seul bouton. Cela dit avec cet unique bouton on peut déclencher 3 actions différentes. Tous ce dont on a besoin de faire c’est l’une des actions suivantes:

• un clic simple,
• un clic double ou
• un clic long

L’action qui est déclenchée dépend de ce que vous avez indiqué dans l’application compagnon installée sur votre smartphone. A chaque action de pression une action différente peut être déclenchée sur le smartphone. L’application doit tourner en tache de fond pour pouvoir capter les pressions et déclencher l’action programmée.

Il faudra en toute première étape appairer les Niu avec le smartphone. Cette étape ne recense aucune difficulté et l’on est guidé dans le process d’installation tout simple.

Les fonctionnalités initiales de Niu sont les suivantes:

• Déclencher l’appareil photo pour prendre un selfie (caméra avant)
• Déclencher un appel fictif, pour se sortir d’une situation gênante
• Déclencher le dictaphone
• Déclencher la caméra pour prendre une vidéo (caméra arrière)
• Démarrer la prise de note vocale
• …

Les fonctionnalités avancées de Niu se résument en un seul mot : IFTTT.

Something borrowed…

En effet avec IFTTT on est capable de déclencher des actions sur n’importe quel Channel disponible aujourd’hui ou bien prochainement. Le moteur de règles permet en effet de faire discuter ensemble et de manière très simple des produits et services liés entre eux via le cloud IFTTT.

Niu  possède son propre « channel » dédié sur IFTTT. Cela lui permet de ne pas emprunter le channel « Maker » générique et de simplifier les branchements. Avec IFTTT, Niu est capable d’agir sur toute une foule d’objets connectés et de services web d’un simple clic,… d’un double clic ou bien d’un clic long :

• Ajuster la température de confort d’un thermostat Nest, Netatmo ou Honeywell
• Piloter une prise connectée Belkin Wemo
• Déclencher une ambiance lumineuse sur ses ampoules Philips HUE
• Contrôler son système domotique, tel que SmartThing
• Mettre sa maison sous la surveillance de son alarme MyFox
• …

Par la suite Nodon pense apporter à l’application de nombreuses autres actions comme la mémorisation d’un lieu géographique, le contrôle de la musique, l’arrêt de l’alarme (Snooze), des jeux, des notifications, etc…

Nodon m’a également indiqué que le potentiel de ce petit bouton sera décuplé par des partenariats que la start-up Orléanaise pense conclure afin d’intégrer un maximum d’APIs permettant ainsi de diminuer les services intermédiaires et offrir une meilleure expérience client. Cela ouvrira du coup la possibilité de proposer des fonctionnalités originales.

Something blue…

Les usages de NIU sont très nombreux et avec ses compagnons Smartphone et IFTTT il sont potentiellement sans limites. Ce petit bouton est disponible en 6 couleurs.

Pour fonctionner on l’a déjà dit il faut faire appel à un Smartphone. Ce dernier doit être compatible avec le Bluetooth 4 BLE. Si l’on compare à sa grande sœur la Soft Remote, cette dernière était capable de piloter des périphériques en direct. Elle pouvait également être associée à une box domotique. Niu ne peut à ce jour pas être utilisé directement par une box. Les avancées en termes de protocole Bluetooth d’une part et en terme de maîtrise de cette technologie par Nodon telles que l’on a pu le découvrir à l’occasion du dernier CES de Las Vegas nous indiquent que l’on peut s’attendre à ce qu’avec le Bluetooth la notion de box domotique soit un concept périmé.

A ce jour seule une application pour iOS est disponible mais avant la fin de l’année (2016…) une version Android sera également proposée. Nodon ne peut cependant pas encore se prononcer sur une date exacte. Sur le site du Niu est tout de même annoncé le 1er septembre.

…and a silver sixpence in her shoe

En France il est prévu qu’il soit disponible dans quelques jours à savoir dès le 1er juillet 2016. Il sera livré avec un support à ventouse pour Smartphone jouant le rôle de béquille afin de permettre de réaliser des selfies en posant tout simplement le téléphone sur une surface plane.

Le bouton Niu sera disponible dans 2 jours si tout va bien au prix de 29.90€. Vous pourrez vous le procurer notamment sur Amazon. C’est peut être un peu cher pour la seule fonction de déclenchement à distance d’une photo ou d’une vidéo mais rappelez-vous que Niu va tout de même bien plus loin notamment en ouvrant les portes du monde merveilleux de IFTTT…

Conclusion

On le voit ce nouveau petit produit de Nodon est étudié pour le grand public. Sa simplicité sa déclinaison de fonctionnalités apportent à cet objet technologique un petit air de jouet ludique. Sa connectivité avec IFTTT ravira le côté DIY des plus technophiles.  Simple mais complet, il est également beau et pratique à la fois. Petit et amphibie, il pourra vous suivre sans souci sur tout types de terrains.

Pour avoir joué avec Niu depuis janvier après l’avoir découvert au CES 2016, je dois dire que j’ai pu lui trouver de multiples usages. Je n’attends plus qu’une seule chose pour l’adopter c’est que l’application soir enfin disponible pour Android. Le seul inconvénient que j’ai pu constaté c’est d’enregistrer le clic du bouton lorsque l’on stop la prise de vidéo lorsque l’on est au calme. En extérieur ou lors de fêtes cela ne se verra pas du tout.

Pour en revenir au titre de l’article et à l’introduction, il existe une comptine traditionnelle anglaise qui liste ce que la mariée doit avoir sur elle lors de son mariage afin de lui porter chance :

Something old,
something new,
something borrowed,
something blue,
and a silver sixpence in her shoe

A vous de voir si la chance sourira au nouveau couple avec « something Niu« . Au pire, prêtez à la mariée votre version bleue déjà utilisée pour immortaliser SON jour en prenant une photo de groupe et vous aurez déjà rempli les 4 premiers objectifs porte bonheurs!

Something old,… something NIU !

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Roost a fait parlé de lui il y a quelques temps en proposant une batterie permettant de rendre connecté tout détecteur de fumées alimenté par une pile 9V. Le système de connectivité était embarqué dans la pile Roost elle même. Astucieux. L’entreprise continue son petit bonhomme de chemin dans l’IoT dédiée à la maison connectée en proposant maintenant un détecteur de fuites et de gel connecté toujours en Wi-Fi , toujours autonome. Il s’appelle Roost Smart Water and Freeze Detector.

Roost Smart Water and Freeze Detector: détecteur Wi-Fi de fuites d’eau et de gel

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La Smart Home offre-elle d’avantage de sécurité ? La question est intéressante. Elle a été posée pour D-Link et il semblerait qu’en Europe la réponse à cette question soit plutôt positive. Cette question a été posée à un panel de consommateurs européens. Leurs réponses collectées semblent dire qu’entre une maison connectée et une maison classique, la maison connectée offre d’avantage de sécurité. C’est plutôt une bonne nouvelle il s’agit de l’un des rôles que les industriels du secteur souhaitent faire jouer à la maison connectée. L’étude apporte également d’autre enseignements relatifs à la Smart Home.

L’étude de D-Link titre sur le fait que:

La majorité des européens sont de plus en plus sensibilisés aux avantages des maisons intelligentes, et la sécurité devance désormais le divertissement comme principale raison d’adoption

Les résultats d’une recherche menée par D-Link dans toute l’Europe parmi plus de 8 500 personnes issus de 20 pays, montrent que finalement les gens connaissent et adoptent les appareils intelligents pour la maison. L’étude est intéressante car ces personnes donnent un aperçu de ce qu’ils considèrent comme les principales possibilités. Parmi les personnes interrogées ils étaient tout de même 83% à avoir entendu parler des « maisons intelligentes ». Même si je n’aime pas ce terme car la maison n’est pas intelligente elle ne fait que ce qu’on lui indique de faire tout simplement, la Smart Home fait son avancée démocratique.

Selon l’étude, la principale raison qui poussent les gens à acheter un appareil dit « intelligent » pour la maison est de « rendre la maison plus sûre ». On compte le double de personnes motivées par la Smart Home pour la sécurité que pour des objectifs d’économies financières. Parmi les trois produits les plus populaires que les gens cherchent à acheter cette année on retrouve les prises intelligentes (25 %) suivies des caméras de vidéosurveillance (23 %), et les détecteurs de mouvement (14 %).

Pour les consommateurs européens, la maison communicante doit être simple à installer et à paramétrer, simple à utiliser et ne pas nécessiter plus d’une application pour la gérer et la contrôler. On peut rapprocher à ce dernier point à l’interopérabilité, critère qui fait défaut à la domotique.

Dernier point et non des moindres: le coût. La solution simple, basée sur les usages et faisant appel à des technologies interopérables doit être abordable. Pour en venir rapidement au budget consenti par le client pour lui permettre d’acheter une telle solutions, l’étude indique que 52% des personnes intérrogées annoncent qu’ils achèteraient une telle solution si le système ne coûtait pas plus de 300€. Au de là de 1000€ ils ne sont plus que 9%.

Il y a de travail à faire pour que les bonnes intentions que semble collecter la maison connectée se traduise en hausse du taux d’équipement.

L’étude a été résumée par D-Link dans l’infographie suivante:

Smart Home: mais que demandent les consommateurs européens?

Cet article vous a été concocté par Abavala !!!

Lorsque certaines personnes parlent des scénarii domotique un exemple qui ressort souvent est le fait d’allumer automatiquement la lumière dès que l’on se lève du lit le nuit pour se rendre aux toilettes.Pour déclencher l’allumage on peut positionner un bouton sur la table de chevet ou un détecteur de mouvement situé au niveau des jambes. Le premier nécessite qui soit toujours au même endroit pour ne pas le chercher dans le noir. Le second pourrait se déclencher si vous posez votre livre par terre.  Un autre moyen d’identifier que vous vous levez est de placer un mouchard sous la descente de lit. Un capteur de pression qui permet d’identifier que vous êtes en train de le piétiner, le transformant ainsi en tapis connecté.

Vous avez dit tapis avec capteur de pression ?

Pourquoi vouloir transformer son tapis en tapis connecté? Tout simplement pour le relier à mon système domotique. Mais encore? Cela est nécessaire lorsque l’on a besoin d’identifier une présence sans pouvoir faire appel à un détecteur de mouvement localisé. C’est le cas d’uns chambre. Lorsque l’on dort le détecteur de mouvement n’est pas assez précis. Le fait d’être prêt à se lever serait confondu avec un simple sommeil agité…

On peut imaginer plusieurs lieux où glisser un tel système sans qu’il soit vu:

• sous un paillasson
• sous un tapis
• sous une descente de lit
• sous un lino ou autre revêtement de sol souple
• Sur une marche d’escalier vers la cave
• …

Le capteur de pression testé permet également une utilisation avec les meubles suivants:

• sous un matelas
• sur une chaise
• sous l’assise d’un canapé
• sous un l’assise d’un fauteuil
• …

Après quelques recherches je suis tombé sur un capteur de pression large et plat. Il est conçu par le britannique Defender Security  pour être piétiné. Votre poids permet de déclencher votre détection. Il se présente comme un petit tapis en plastique noir et souple. Il détecte une personne qui marche dessus.  Il se glisse sans aucun problème sous un tapis car il est épais de seulement 3 petits mm. Il est de ce fait adapté pour être discret.

Côté connectique ce détecteur est on ne peut plus simple. Il n’a aucune pile. Il ne nécessite pas de batteries pour fonctionner. Il agit comme un interrupteur et transmet au final un signal On/Off.

Du tapis sortent 4 fils:

• 2x fils pour un contact sec « normalement ouvert », qui ferment le circuit quand une personne marche sur le tapis.
• 2x fils supplémentaires qui fournissent une boucle de sécurité pour la surveillance 24h. Ils sont nécessaires pour l’industrie de la sécurité mais inutiles pour la domotique.

Les 2 fils utiles sont ceux qui sont les plus au milieu du tapis. Les 2 autres qui sont indépendants peuvent être ignorés.

Comment ça marche?

L’élément de commutation est soudé dans une enveloppe PVC et est complètement étanche à la poussière et étanche IP64. Les capteurs du tapis forment un contact normalement ouvert qui se ferme quand une personne marche sur le tapis ou se tient immobile dessus. Le contact sec se ré-ouvre ensuite lorsque la personne se déplace en dehors du tapis.

Les tapis de pression Defender Security peuvent être achetés au moins en 3 tailles différents. Comme ils ne peuvent pas être coupés pour être redimensionnés pensez à bien prendre les mesures:

• Tapis de pression PM1 Escalier :    595 mm × 170 mm
• Tapis de pression PM2 Standard :  720 mm × 390 mm
• Tapis de pression PM3 Grand :       720 mm × 560 mm

La pression nominale de fonctionnement pour le matelas de pression PM2 et PM3 est de 25 kg appliquée à la surface du tapis sur un disque de 50 mm. Le version PM1 du tapis de pression propose une sensibilité accrue de fonctionnent: seule une charge de 16 kg appliquée à la surface du tapis suffit pour détecter une personne marchant dessus. Cette version plus sensible la destine à être utilisée pour détecter un poids, une pression de la main plus légère ou une détection d’une personne assise dans un siège ou sur une chaise.

Mise en oeuvre

Le tapis capteur de pression est tout simplement à poser au sol. Il peut être recouvert par une surfacer de sol tel qu’un tapis, un paillasson ou autre… Comme il s’agit d’un détecteur filaire il peut être relié à bon nombre de systèmes domotiques. Il vous suffit de lui adjoindre les bons et loyaux services d’un émetteur pour contacts secs. Pour la démo vidéo j’ai utilisé un détecteur d’inondation Fibaro Flood Sensor.

Pour être un peu plus discret j’ai préféré utiliser un capteur d’ouvertures Z-Wave du même fabricant polonais. Les branchements sont présentés ci dessous.

Ils font appels aux connecteurs contact sec de ce capteur Fibaro. Dans votre box domotique le tapis capteur de pression sera à utiliser dans les scénarii comme vous pourriez le faire habituellement avec ce capteur d’ouvertures positionné habituellement sur des portes ou fenêtres.

Ce capteur de pression est donc bien utilisable par n’importe quel système domotique pour peu qu’un émetteur puisse lui être adjoint.

Et dans la vraie vie?

Les tests à la maison ont été menés avec la version PM3 du capteur de pression.

Au sol le capteur de pression fonctionne comme attendu. Un tapis placé dessus ne le perturbe nullement. D’ailleurs ce revêtement qui devra recouvrir le capteur de pression est important à la fois protéger le capteur contre les dommages éventuels mais également pour éviter que l’on puisse glisser dessus.

J’ai pu tester le capteur de pression placé dans un lit entre un matelas et le sommier. En fonction du lit le résultat n’est pas le même. En gros si votre matelas et épais et qui plus est de qualité, c’est à dire s’il répartit correctement le poids de votre corps sur le matelas, le capteur de pression peut ne rien détecter du tout. Même si vous vous laissez tomber assis sur votre lit.

Avec un lit de qualité moindre, il détectera votre présence si vous êtes assis dessus. Bien placé, il détectera donc si vous êtes en train de vous lever ou de vous coucher. Avec un lit moins qualitatif, ou si vous êtes lourd, le capteur pourra identifier que vous êtes dans votre lit. A ce niveau rien ne remplace le test en situation pour valider que le capteur est compatible avec votre lit (ou inversement). Les résultats avec le capteur PM1 devraient être différents car il est plus sensible.

Sous l’assise d’un fauteuil ou d’un canapé c’est le même souci à ceci près que vous êtes normalement assis et que le poids de votre corps est plus localisé. Le capteur fonctionnera donc avec plus de certitudes. Vous pouvez par exemple décider de le mettre sur votre chaise de bureau afin d’allumer ou éteindre automatique la lampe de travail. Pratique contre les oublis. Je vous fait confiance pour imaginer les scénarii plus évolués.

De nombreuses applications peuvent être trouvées pour ces tapis capteurs de pression. Une utilisation pour la Smart Home ou encore la sécurisation des lieux en tant que détecteur d’intrusion en complément d’un détecteur d’ouvertures ou de mouvement. Il joue le rôle de détection secrète ou tout du moins discrète. Si votre détecteur de mouvement se déclenche par erreur au passage de votre animal de compagnie et si ce dernier fait moins de 25kg il pourra vous aider à détecter uniquement les vrais intrus.

En conclusion

Defender Security, les concepteurs du produit indiquent que diverses applications lui ont été trouvées. On parle des jeux ou des systèmes multimédias interactifs. Des usages ont été trouvés également pour l’industrie des soins et de la santé. La détection d’une personne assise dans un siège ou une chaise, lui permet d’apporter des informations précieuses dans le cadre du suivi des personnes nécessitant une assistance au maintient à domicile. Sa facilité d’utilisation et de mise en oeuvre et surtout son côté agnostique à toute technologie et protocole domotique lui permettent de jouer un rôle dans bon nombre de configurations.

Indépendant de toute solution technique et de tout protocole il saura s’adapter à bon nombre de situations. Il ne faut donc pas oublier de compléter le dispositif par un périphérique compatible avec votre smart home. Le coût de se capteur n’est pas rédhibitoire et c’est assurément une bonne surprise.

• Le tapis de pression PM1 Escalier (595 mm × 170 mm) est à 7,89 €
• Le tapis de pression PM2 Standard (720 mm × 390 mm) est à 10,34€
• Le tapis de pression PM3 Grand (720 mm × 560 mm) est à 13,40 €

Il sont disponibles sur Amazon mais également ici.

Comment transformer sa descente de lit en tapis connecté

Cet article vous a été concocté par Abavala !!!

La période de l’année est propice à son utilisation. Enfin si la météo est clémente. L’ouverture du temps de la baignade est ouverte et les piscines privées vont pouvoir résonner des amusements des petits comme des grands. Alors que l’on perçoit bien les côtés sympathiques de cette activité loisir, on peut redouter les corvées liées à la conservation d’une belle eau cristalline. Peu de solutions connectée sont disponibles pour vous aider dans cette lourde tâche. La salon Viva Technology de la semaine dernière m’a permis de faire la connaissance avec Flipr,

Avant Viva Technology je connaissais Flipper. Les plus anciens sauront de quel dauphin je veux parler. Depuis la fin de la semaine dernière je connais également Flipr. Tout comme le dauphin de la série il arbore une belle nageoire et vit dans l’eau. Tout comme la mammifère marin il discute à sa façon avec les hommes. Flipper utilisait les cris et les attitudes. Flipr vit avec son temps et emprunte le réseau Sigfox.

Un objet connecté qui vit dans l’eau

Flipr, est un objet connecté dédié à la piscine. Son but dans la vie et d’analyser l’eau et de vous dire comment agir pour conserver une bonne qualité de baignade dans de saines conditions.

Parmi ses alléchantes promesses on retrouve le fait que :

• vous n’avez plus à vous soucier du suivi de la qualité de l’eau. En effet ses capteurs effectuent les analyses pour vous et en temps réel. Si une anomalie est détectée le dispositif vous avertit et vous dit quoi faire.
• vous faites des économies. Flipr vous permet de rectifier les dosages en produits chimiques que vous pouviez faire éventuellement de manière hasardeuse. Les conseils prodigués par Flipr se basant sur l’étude des analyses vous indiquent les mesures adaptées pour maintenir votre piscine propre, sans gaspillage ni vidange de bassin.
• vous pouvez profiter d’un confort dans le suivi de la qualité de l’eau. C’est à tout instant et depuis votre smartphone que vous pouvez accédez aux infos dont vous avez besoin pour garder des conditions de baignades optimales.

Une nageoire communicante

Le design de Flipr a été pensé pour s’adapter au mieux à toutes les piscines, sans les défigurer. Discret, il doit pouvoir se faire oublié collé au mur de la piscine à l’aide d’une ventouse. Il devrait pouvoir officier sans vous gêner. Son autre point fort est qu’il n’a ni besoin de Wi-Fi ni de Bluetooth pour pouvoir fonctionner. Il fait ses relevés et les envoie en empruntant le réseau Sigfox au Cloud du fabricant. Il n’y a pas d’abonnements à souscrire pour que la communication puisse se faire. C’est inclus dans le prix d’achat.

Avec votre smartphone (iOS ou Android), vous pourrez alors consulter les données qui ont été transformées en informations claires et précises. La solution ajoute un service météo, ainsi que de nombreux conseils pour entretenir et profiter de votre piscine.

Flipr analyse 8 mesures en temps réel:

• Chlore / Brome
• PH
• Température
• Conductivité
• Alcalinité
• Dureté
• Sel
• Indice UV

Le système propose également quelques services :

• FLIPR ANALYTICS: Grâce aux mesures prélevées par Flipr et à nos algorithmes, l’application Flipr fait les analyses d’eau à votre place. Plus de perte de temps, plus d’erreur de dosage. Vous agissez sereinement.
• FLIPR ALERT : L’application Flipr vous prévient automatiquement lorsqu’une action de votre part est nécessaire. Et si vous êtes occupés, indiquez à Flipr vos disponibilités, et il vous préviendra plus tard.
• FLIPR PREDICT: En combinant plusieurs paramètres, Flipr est capable d’anticiper les événements. Prévision de pic de Ph, alerte sur les stocks, risque de canicule: vous agissez avant qu’il ne soit trop tard.
• FLIPR INFINITE: Bénéficiez de services exclusifs pour vous et votre piscine. FliprInfinite vous fait profiter d’une extension de garantie à 3 ans de votre Flipr, pièces, port et main d’oeuvre comprises. Nous mettons également à votre disposition un expert piscine, joignable par e-mail et téléphone 7/7 jours. Et afin que l’expérience soit complète, nous négocions pour vous des tarifs privilégiés auprès de nos partenaires sur les produits d’entretien et sur les accessoires piscines. (option à 139€)

Surveillance compatible avec le confort

La zone de nage est préservée par la forme de l’objet et la laisse libre de tout obstacle tout en garantissant au maximum des analyses de qualité. L’installation est prévue pour être simple et ne requiert par de perçage de la paroi de la piscine. Elle fait appel à utilise une ventouse spécialement conçue. Flipr est également compatible avec les bâches à bulles ou les volets roulants.

Une partie du Flipr doit rester hors de l’eau afin de pouvoir continuer à émettre des données sur le réseau Sigfox. A L’inverse, un indicateur de hauteur minimum est présent sur la coque de Flipr : il vous permet d’ajuster la fixation si besoin.

Il faut noter cependant que cet objet connecté est équipé d’une batterie longue durée non rechargeable. Elles est capable d’alimenter le dispositif pendant 3 saisons (une saison = 7 mois d’utilisation). Quand aux sondes elles ont une durée de fonctionnement est de 2 saisons. Pour remplacer ces composants, il faudra faire appel au fabricant qui pourra procéder au prélèvement du produit à votre domicile, à la maintenance, et à son retour chez vous. Cette prestation (aux alentours des 50€) permet de garantir l’étanchéité de l’objet connecté.

Les premiers utilisateurs qui ont profité d’une offre limitée à 190€ devraient être livrés ce mois-ci. Les pré commandes sont ouvertes jusqu’à la fin du mois pour une livraison en Février 2017 au tarif de 230€. Par la suite le système sera proposé au tarif de 290€. Tout cela se passe sur le site du fabricant.

Piscine: Flipr dans l’eau et Sigfox pour le réseau

Cet article vous a été concocté par Abavala !!!

L’internet des objets (IdO) est un marché croissant d’objets physiques qui peuvent se connecter à l’Internet. Faire interagir ces objets dits communicants peut s’avérer très compliqué si l’on n’est pas informaticien ou bien tout simplement si le fabricant a la très mauvaise idée de ne pas permettre à son produit de participer à l’avancée de l’IoT en rendant possible l’interconnexion avec d’autres systèmes. Depuis de ombreuses années le service en ligne IFTTT apporte sa pierre à l’édifice non seulement en rendant ces échanges possibles entre objets connectés mais en leur permettant d’être simples.

Dans un article récent publié sur son Blog, IFTTT faisait un point très intéressant concernant l’utilisation de la plateforme dans le cadre des l’Internet des Objets (IdO) ou Internet of Things (IoT). Le service en ligne IFTTT, dont le nom signifie à peu de choses près « Si Ceci Alors Cela », est un pionnier dans la mise en relation d’objets connectés et de services sur Internet comme on a pu le voir à plusieurs reprises ici, ici ou encore ici. La Smart Home et les Smart Cars y sont reliés. Les produits de l’IoT grand public qui souhaitent acquérir une certaine renommée dès leur lancement ne peuvent pas passer à côté d’une passerelle vers IFTTT, et avoir son Channel dédié.

IFTTT et IoT une longue histoire…

Pour connaître un peu l’utilisation de la plateforme avec les objets connecté, IFTTT n’a pas hésité à regarder dans ses data afin de sortir quelques chiffres intéressants. Pour commencer il faut savoir que sur IFTTT, les Channels IdO sont recensés dans quelques catégories :

• les appareils de fitness et de santé,
• les wearables,
• l’électronique DIY,
• les appareils domestiques connectés,
• les voitures connectées,
• les systèmes de sécurité ou de surveillance.

Le tout premier Channel à intégrer le catalogue de IFTTT traitant de l’IoT date de 2012. Il s’agissait d’un Channel dédié à la Smart Home Belkin avec WeMo Motion et WeMo Switch. Depuis de l’eau a coulé sous les ponts et, fin 2014, 40 Channels IdO étaient disponibles. Fin 2015 ils étaient 104. Avec le tout dernier Channel, EVE pour les voitures Tesla se sont pas moins de 158 Channels pour l’IdO qui sont disponibles gratuitement pour les utilisateurs du moteur de règles IFTTT. Cela représente tout de même plus de 1,5 millions de connexions entre systèmes de l’IoT qui ont été fait sur IFTTT.

Quelle est l’utilisation?

Côté utilisateurs, le groupe des propriétaires d’objets connectés a été comparé à la population des utilisateurs de IFTTT qui n’ont aucun objet de l’IoT. Les principales différences sont les suivantes:

• Les utilisateurs d’IoT sont plus à même d’utiliser Twitter ou Instagram via IFTTT. La population sans objets connectés se connectent plutôt à Facebook
• Les utilisateurs d’IoT utilisent plus de Channels IFTTT que les autres. On compte une moyenne de 6 Channels contre 4.
• Les utilisateurs d’IoT préfèrent la plateforme iOS à Android. On peut imaginer que sur Android des solutions applicatives disponibles sur cette plateforme telles que Tasker ou Macrodroid peuvent faire de la concurrence.
• 21% des utilisateurs d’IoT on plus d’un objet connecté relié à la plateforme IFTTT. Autrement dit 79% des utilisateurs d’IoT dans IFTTT n’ont qu’un seul Channel actif sur IFTTT. C’est peu!

Dans quels pays utilise-t-on IFTTT pour l’IoT?

Les clients du service IFTTT pour l’IoT sont répartis un peu partout dans le monde. Cependant certaines tendances géographiques se détachent. Lorsque l’on regarde les quinze premiers pays, utilisant des Channles pour  l’IdO, on peut voir quelques surprises.

L’Europe est très fortement représentée parmi les utilisateurs de IFTTT pour l’IoT. Le premier pays non européen apparaît à la 11ème place il s’agit des Emirats Arabes Unis.

On note la première place de la Suisse. Là-bas, 45% des utilisateurs de IFTTT ont un Channel pour l’IoT d’activé. Ils sont suivis par les Pays Bas et le Danemark qui les talonne. Chez eux se sont 40% des utilisateurs de IFTTT qui ont un objet connecté. La France est classée 7ème (31%) et les US 13ème (20%). La Corée, autre pays technophile, ferme la marche avec ses 18%. Ce classement est très éloigné des tendances technophiles habituellement constatées sur les différents continents.

La demande pousse IFTTT à recenser de plus en plus d’objets connectés. IFTTT annonce que l’IoT est un moteur de croissance pour eux et ça tombe bien, les objets connectés ont besoin d’une telle solution pour exister et pour communiquer avec leurs confrères. C’est tout de même un comble. Sur ce créneau les solutions Homekit d’Apple ou encore Works With Nest arrivent en embuscade… Vont-elles pouvoir détrôner la référence qu’est ce moteur de règles?

L’Internet des Objets avec IFTTT

Cet article vous a été concocté par Abavala !!!

Dans nos contrées la marque Ryobi est principalement connue pour leur matériel de bricolage. Que ce soit les perceuses, les tondeuses, les meuleuses, les débroussailleuses, les scies sauteuses et autres tronçonneuses la marque est présente dans les équipements du bricoleur d’intérieur et d’extérieur. Ryobi propose également une motorisation de portes de garages à la fois silencieuse et pilotable par Smartphone. Ce n’est pas un tournant à 180° car la marque n’a pas oublié le bricoleur que vous êtes. La motorisation ne vient pas seule et les multiples options proposées peuvent faire la différence.

La motorisation de porte de garage Ryobi ressemble à s’y méprendre… à la majorité des motorisations, Bon elle ne se cache pas et est relativement imposante. Elle propose également des LED qui pourront remplacer ou seconder la lumière du garage. Elle permet de prendre en charge une porte de garage et d’en motoriser son ouverture / fermeture.

La commande permettant d’actionner la motorisation peut être une télécommande, un clavier extérieur, un pavé de commande intérieur, une voiture compatible HomeLink ou encore l’application pour iOS ou Android. Il vient également équipé d’un détecteur de monoxude de carbone, d’un capteur de température et d’un capteur d’humidité. Toutes ce commandes sont livrés en standard il est déjà bien doté.

C’est déjà pas mal. Mais Ryobi va un peu plus loin en proposant des options afin de choyer le bricoleur qui est sa cible historique. La marque souhaite profiter de sa notoriété dans les appareils électriques dédiés aux bricolages d’intérieurs et d’extérieurs en proposant ce modèle de motorisation pour porte de garage. Car en effet, c’est souvent dans le garage que commence les bricolages qui font de la poussière et du bruit. En effet, cette pièce de la maison sert souvent également de remise ou d’atelier.

Les options qui peuvent être rajoutés au moteur de base sont les suivantes:

• batterie de secours : C’est la même batterie que celle qui équipe les appareils électroportatifs de bricolage. Elle permet à la motorisation d’être activée même lorsqu’il n’y a une panne de courant

• rallonge électrique : une triplette électrique enroulée, facile d’accès et disponible au plafond c’est ce que propose cette option. La prise électrique est disponible dès qu’on en a besoin et se range facilement.

• laser park assist : 2 petits faisceaux lasers pour vous aider à garer au mm près votre voiture. Le principe est présenté dans cet article.

• ventilateur : pour faire circuler l’air dans le garage. Idéal quand il fait chaud ou bien lorsque l’on travaille avec des produits toxiques ou qui sentent fort.

• enceinte bluetooth : permet de diffuser de la musique mais également une conversation téléphonique.

Les modules additionnels se clipsent en un rien de temps au coffrage de la motorisation sur l’un des 8 emplacements prévus à cet effet. Cette connectique leur permet d’être alimentées en électricité mais également d’être pilotées et contrôlées via l’application pour smartphone. Pour permettre au moteur  et aux accessoires d’être contrôlé par votre téléphone il faudra penser à le relier à votre Wi-Fi domestique.

Ryobi signe un ingénieux système à tout faire pour le garage / atelier. La motorisation coûte 248 $. Les accessoires sont disponible en option aux tarifs suivants:

• enceinte bluetooth : 54$
• ventilateur : 54$
• laser park assist : 44$
• rallonge électrique : 64$
• batterie de secours : 39.97$

Ce moteur connecté, étendu et assurément novateur dans les fonctions pratiques qu’il apporte n’est malheureusement disponible qu’aux US à ce jour où il démarre sa carrière. Sa modularité de services et son faible bruit sont les principaux atouts mis en avant par Ryobi pour conquérir les foyers.

La motorisation de garage connectée de Ryobi n’oublie pas le bricoleur

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Si vous êtes un lecteur du blog et si le titre de l’article vous dit quelque chose c’est normal. Et ce n’est pas une simple coïncidence. En avril dernier je vous ai présenté une solution émanant du Media Lab du MIT. CityHome promettait d’agrandi l’espace de votre appartement d’un simple geste de la main. Le concept présenté alors était un meuble robotisé qui permet de collecter les fonctionnalités principales du logement et de libérer de l’espace en les poussant à gauche ou à droite. Le concept disparaît et un produit industriel le remplace sous le nom de Ori.

Le nom du produit, Ori, vient du mot Origami, cet art japonais du pliage de papier permettant de créer des objets à la fois beaux et remarquables

Prenez un concept issu d’une réflexion d’un labo universitaire. confrontez l’idée aux bonnes grâces d’un designer (Yves Béhar en l’occurrence) et vous obtiendrez un produit capable de trouver un certain public. A oui, j’oubliais de le rappeler, il faut que ledit produit, tout technologique soit-il, doit apporter une solution. Le problème qu’adresse Ori est transcontinental. Ce produit lutte contre le manque de place dans les habitations urbaines.

Ori Systems est l’une des premières entreprises à proposer une famille de technologies « responsives » et « intelligentes » alliant la robotique, l’architecture et la conception pour permettre la transformation facile et sans effort de l’espace intérieur. L’entreprise annonce en effet débuter son activité en proposant une ligne de robotique architecturale. Ce lancement de produit préfigure « une ère dans laquelle l’espace intérieur est dynamiquement mis en conformité avec nos activités ». Il améliore considérablement son efficacité, sa praticité et son utilité tout en améliorant nos petits moments quotidiens.

La première application de la technologie d’Ori Systems permet de transformer un studio en un appartement de 2 pièces. Il adapte la configuration de cette pièce unique en cloisonnant l’espace de manière dynamique. Les volumes deviennent tour à tout chambre, un salon, une salle à manger, un bureau… La motorisation du meuble cloison et l’astucieuse conception de ce dernier permettent de faire apparaître les fonctions souhaitées par les résidents au moment où ils en ont besoin.

Ori répond avec originalité au problème urbain classique de manque de place et de coût des mètres carrés supplémentaires. Le système fournit de nouvelles expériences utilisateur et libèrent le potentiel d’endroits habituellement étroits où les gens veulent de plus en plus d’espace pour vivre, travailler, se détendre ou jouer.

Ori offre un espace savamment étudié s’adaptant sur demande: avec le simple toucher du doigt sur la télécommande centrale ou sur le smartphone. Se découvre alors à tour de rôle un salon spacieux qui se transforme en une chambre confortable. Un dressing se transforme en bureau. Tout ce petit monde est maintenu en place par la cohérence d’un système de smart home dont peut bénéficier le meuble. Les technologies modulaires côtoient la robotique et des systèmes qui ont l’intelligence de l’adaptation.

Ori Systems prévoir d’offrir ses services pour les logements bien entendu mais également pour les bureaux, le commerce de détail, l’éducation, le secteur hospitalier ainsi que tout autre domaine où l’espace intérieur dynamique et réactif est nécessaire voire est indispensable.

Les premières versions résidentielles des meubles seront déployés par les développeurs à Boston, Washington et Seattle cet été et le programme acceptera les partenaires pilotes au début de 2017.

Et le coût dans tout cela? Les développeurs de Ori ont répondu que, « comme le prix au mètre carré est de loin le coût le plus important – beaucoup plus que la technologie – vous pourrez obtenir la fonctionnalité d’un beaucoup plus grand appartement pour une fraction de son coût. » On n’est pas bien plus avancé mais ça permet de relativiser.

J’aimais bien la version prototype avec le kinect en tant que commande sans contact. Elle disparaît dans ce qui semble être le produit final, laissant la place à un bouton multi usages qui à défaut d’être révolutionnaire est usuel, fonctionnel et surement plus facile à maintenir et à apprivoiser par le client final. Il a tout simplement peut être disparu pour des raisons budgétaires. On note également la disparition des fonctions de cuisine ou de table…. Surement pour les mêmes raisons.

Voici en vidéo le produit final:

Si vous souhaitez revoir le système à l’origine il est disponible ici.

Ori: agrandir l’espace dans son appartement d’un simple bouton

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En domotique, l’interface principale permettant de piloter ou de contrôler sa Smart Home c’est le smartphone. On retrouve juste ensuite la tablette. Celle si peut sans soucis être la tablette familiale mais également une tablette qui sera dédiée au dialogue avec la maison communicante. Si l’on souhaite installer cette tablette sur le mur il faut alors choisir un support mural et lui apporter le câble permettant de lui fournir l’énergie électrique l’autorisant à fonctionner. Displ’Ever est un écran qui prend à sa charge les fonctions de pilotage / contrôle de la smarthome tout en étant autonome en énergie.

Lorsque j’ai croise du regard Displ’Ever la première fois au CES de Las Vegas j’ai tout de suite vu que quelque chose la distinguait des autre tablettes de contrôle. La principale différence c’est qu’il ne s’agit d’ailleurs pas… d’une tablette. Il s’agit d’un écran à affichage permanent, sans fils et auto alimenté. Il est destiné à l’IoT et à la Smart Home. NanoSens son concepteur français continue avec elle à explorer les besoins des utilisateurs de la maison connectée en apportant des solutions adaptées aux contraintes d’utilisations rencontrées.

L’écran de contrôle est un besoin important de la Smart Home. Il permet tout simplement de paramétrer, d’agir sur sa smarthome ou tout simplement de prendre connaissance de l’information concernant sa domotique. Que ce soit pour le suivi de la consommation d’énergie, pour le contrôle des ouvrants ou simplement de la qualité de l’air ambiant, l’écran de consultation Displ’Ever est bien pensé pour s’inscrire dans cette lignée. Il peut être le complément de multiples capteurs et ainsi jouer le rôle de la station météo extérieur mais également de la station du bien être intérieur. En standard il est muni de capteur de température, de qualité de l’air et de lumière ambiante.

Comment fait-il pour gérer tout cela? C’est tout simple: il est naturellement communicant et peut aller s’enquérir des données qu’il ne peut pas connaitre tout seul. Il parle en effet couramment Bluetooth Smart, EnOcean, Thread et AllJoyn. Rien que cela… Il est ainsi armé pour être un incontournable allié de la maison communicante. Pour compléter le tableau, je vous dirais simplement qu’il est également entièrement sans fil et il consomme très peu d’énergie.

Sa faible consommation d’énergie il le doit entre autres à son écran e-ink. Il s’agit de la même technologie que celle utilisée par la plupart des liseuses. Sa consommation est tellement basse qu’il ne nécessite d’être branché à aucune une prise électrique pour être opérationnel. Il produit tout seul l’électricité nécessaire à son bon fonctionnement en la puisant dans l’éclairage ambiant. Si vous vous rapprochez de lui vous constaterez que la bordure noire qui entoure l’écran e-paper n’est autre qu’un réseau de cellules photovoltaïques délicatement et brillamment intégrées au périphérique.

Pour interagir avec l’écran c’est simple : il est tactile. Pour installer des fonctions sur l’écran il suffira de préparer l’affichage sur un smartphone et de les communiquer au Displ’Ever via NFC.

Il pourra être complété d’une passerelle Enocean / IP. Cela lui permet d’afficher à l’écran autre chose que des informations provenant de périphériques EnOcean. Avec cette passerelle il pourra recevoir les données provenant d’internet: météo, trafic, objets connectés,… Cette passerelle permet également à un écran Displ’Ever d’échanger des informations avec un autre écran. Enfin une plateforme ouverte et un SDK (Java) seront disponibles afin de pouvoir interfacer tout système avec cet écran.

Toute cette technologie embarquée ne joue pas sur l’encombrement de l’écran. Vous pourrez constater qu’il conserve une finesse qui lui permet d’être positionné au mur sans que cela ne nuise à l’esthétique de la pièce. Il saura s’intégrer facilement dans les intérieurs et se fondre dans le décors. Un simple double face permettrait de le tenir en place sur le mur!

Displ’Ever devrait être disponible dans un premier temps via laplateforme de financement participatif Indiegogo pour 249$ puis au tarif de 299$.

Displ’Ever: la Smart Home a son écran e-ink communicant et autonome

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Depuis son dernier produit, de l’eau a coulé sous les ponts de Nest. Nest est remonté en tant que filiale de la maison mère Alphabet au même niveau que le moteur de recherches Google. Nest a également vu partir son patron, l’emblématique Tony Fadell. Mais c’en est pas fini de l’entreprise de produits et de services de Smart Home. On attendait des nouveautés côté produits c’est chose faite avec le Nest Cam Outdoor, une caméra de surveillance pour extérieur.

Nest Cam Outdoor reprend bon nombre de spécificités de la Nest Cam première du nom dont son prix. Le design évolue considérablement  Il s’éloigne du design « webcam » pour se rapprocher un peu plus des confrères caméras de sécurité.

Pour l’installer sur un mur le propriétaire de la caméra pourra facilement lui trouver un endroit idéal. Une surface magnétique permet d’adapter ensuite la surveillance tout en choisissant l’angle de vue approprié. Pour parfaire son intégration, Il faudra prévoir une arrivée d’alimentation pour cette caméra qui ne fonctionne pas sur batteries. Nest Cam Outdoor est bien entendu conçue pour supporter une large amplitude de températures et de conditions météorologiques.

Du côté de ses fonctionnalités, Nest Cam Outdoor permet de filmer en temps réel, avec une définition  HD 1080p. Elle couvre un angle de 130°. Elle propose également une vision nocturne et dispose pour cela de 8 LEDs infrarouges. Elle est équipée d’un micro et un haut-parleur permettant, via son smartphone, de rentrer en contact avec un visiteur se rapprochant de votre maison.

Les images peuvent être visionnées en streaming. Nest anonce utiliser pour cela une communication sécurisée grâce à une technologie de chiffrement avancée (clé RSA 2048 bits avec connexion SSL 128 bits).

Fidèle à sa philosophie « Works with Nest », il sera possible depuis l’application Nest de contrôler d’autres produits du fabricant. Une nouvelle application fait d’ailleurs son apparition. Elle permet de prendre en compte les produits déjà installés. La nouvelle application Nest est désormais compatible avec l’Apple Watch et la montre Android Wear commercialisée depuis le début de l’année. Les clients de la marque américaine peuvent ainsi contrôler par exemple la température du thermostat Nest directement depuis leur montre.

Nest Cam Outdoor fonctionne également avec Nest Aware. Il s’agit du service du fabricant qui permet de bénéficier, moyennement paiement, d’un enregistrement continu 24h/24 et 7j/7. Elle donne égamenet accès à un stockage dans le cloud. Pour rappel, deux formules sont proposées : 10 jours d’historique vidéo pour 10 €/mois, ou 30 jours d’historique vidéo pour 30 €/mois. Cette option permet également de pouvoir bénéficier de ce que Nest appelle des « alertes intelligentes ».

Dès le mois de septembre, en plus des alertes de son et de mouvement habituelles, il sera possible de recevoir un nouveau type d’alertes : les alertes de personnes. Les alertes de personnes sont envoyées lorsque quelqu’un entre dans le champ de la caméra. Nest peut désormais faire la différence entre une présence humaine et d’autres types de mouvement. On peut noter que les fonctionnalités Nest Aware, y compris les alertes de personne seront disponibles sur toutes les caméras Nest Cam et Dropcam.

Cette nouvelle caméra est finalement assez esthétique. Elle reprend bon nombre de caractéristiques de sa sœur dédiée à l’intérieur. Elle ne semble pas apporter de grandes nouveautés mis à part le fait qu’elle est conçue pour résister aux conditions extérieures. Le mode de commercialisation par services est également partagé avec la caméra actuelle. Si vous souhaitez profiter des options « Aware » il faudra passer par les fonctionnalités du cloud et donc souscrire à un abonnement payant. C’est un business model qui n’est pas le plus plébiscité dans le monde des installations DIY mais qui trouve un certain intérêt chez ceux qui recherchent une solution clé en main.

La Nest Cam Outdoor est à ce jour disponible en précommande uniquement aux États-Unis et au Canada pour l’instant au tarif de 199$. Les livraisons sont prévues pour cet automne. Elle devrait être commercialisée en Belgique, en France, aux Pays-Bas, en Irlande et au Royaume-Uni dans le courant de l’année.

En attendant, l on peut faire connaissance avec ce produit que Nest a mis du temps à proposer:

Nest revient (enfin) avec un nouveau produit : Nest Cam Outdoor

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Bot2Karot est un projet qui a été soumis au concours Google Science Fair 2015. Pour mon plus grand pliaisir j’ai pu faire connaissance de ce robot mais également de son concepteur de 15 ans Eliott Sarrey et de son père à l’occasion de la Maker Faire 2016 à Paris. C’est toujours sympa de prendre connaissance de projets innovants et un peu fou. au gré des nombreuses lectures. C’est bien plus intéressant de faire connaissance avec la passion des personnes qui sont derrière. Dans le cas présent, Bot2Karot qui allie la robotique avec la culture de son petit jardin potager. Retour sur 4 sujets dans l’air du temps : robotique, jardinage, innovation et passion.

On résumerait trop rapidement le projet Bot2Karot à celui d’un système robotique en charge de la gestion d’un potager: ce serait une erreur. Bot2Karot est une aventure humaine avant tout. Développé par Eliott Sarrey un jeune français d’une quinzaine d’années habitant en Meurthe-et-Moselle. Avec ses idées et sa ténacité, il a su capter l’attention de Google l’année dernière en participant au Concours Google Science Fair 2015. Il a su convaincre car il l’a remporté! L’idée n’aurait pas trouvé un meilleur mentor que la voix de son père professionnel des automatismes dans un grand groupe industriel français.

Pour avoir des légumes (bio c’est encore mieux) à tout instant en respectant les aspirations gustatives d’un travail maison récompensé, la solution est bien connue: il faut se mettre au jardin potager. Mais, si l’on met de côté la connaissance des plantes et celle de la météo, la contrainte principale de cette activité c’est le temps qui passe. Il faut (au bon moment) préparer le terrain, planter, biner, arroser régulièrement. Et comme la nature est maître des lieux, lorsque vous rentrez de vacances, tout peut être perdu… Eliott conçu son projet « Bot2Karot » pour répondre à ces problématiques. Après mures réflexions naîtra un petit robot jardinier piloté par un smartphone. S’il vous plait!

La promesse est faite: vous n’aurez plus de soucis pour avoir de belles plantations. Bot2Karot s’occupera du jardin pour vous. De manière régulière, méthodique et prévoyante. Si vous n’avez pas le temps ou si la main verte pour cultiver votre jardin vous fait défaut, Bot2karot s’annonce comme pouvant être une solution efficace pour réaliser les tâches laborieuses et répétitives du jardin. Un vrai petit robot de compagnie pour vos plantations.

Le prototype qui su conquérir le jury de Google avait cette tête:

La dernière version présentée à Paris a bien évolué. Elle ressemble maintenant à cela:

La version présentée au Maker Faire cette année à Paris est plus aboutie mais n’en est qu’au stade de prototype non opérationnel. Lors de cet événement il était simplement possible à son concepteur de déplacer le robot via le smartphone telle une voiture télécommandée.

A terme le robot sera autonome dans un jardin potager aménagé pour lui permettre d’apporter ses soins avec efficacité. Son bras articulé pourra agir à chaque étape de la croissance des plantes. Le bras articulé pourra revenir dans l’atelier pour prendre l’outil adapté à la tâche à accomplir. Les différents outils seront disposés sur un présentoir conçu pour faciliter les changements d’instruments.

Côté énergies, l’idée est également de munir le potager de panneaux solaires ou d’éoliennes pour alimenter le robot. Le mode de recharge reste à déterminer. Le robot pourra également jouer le rôle de nurse pour les graines à faire germer en serres. Il pourra ensuite échelonner les plantations pour que vous ayez des salades tout au long de la saison et non pas en une seule fois. Ce ne sont pas les idées qui manquent…

On le voit ce petit robot est prévu pour jardiner de manière autonome dans un environnement qui aura été conçu pour qu’il puisse évoluer facilement autour des plantations. Ce projet n’en est qu’à ses débuts. Il est animé par une passion de création et d’innovation qui permettent de surpasser bon nombre d’obstacles. Chapeau! Il reste cependant beaucoup de travail à Eliott pour arriver à mettre au point son rêve comme me la confié son coach avec toute la bienveillance paternelle:

Le robot jardinier arrive, faites confiance à Eliott et à son Bot2Karot

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Pour la deuxième année consécutive, le Groupe La Poste a lancé son concours French IoT 2016. Il vient de révéler l’identité des 16 start-up lauréates de cette 2^ème édition qui feront le voyage au CES 2017 en délégation. Au menu de cette promotion on retrouve toujours de l’IoT, des start-ups, des grands groupes partenaires, des régions et, pour donner un liant homogène à toute cette innovation, on retrouve le Hub Numérique. Les 16 lauréats vont pouvoir rejoindre la communauté French IoT qui rassemble déjà près de 100 start-up et qui participent au programme de la French IoT Academy visant à accélérer le développement de leur business.

L’innovation en ligne de mire

Ce n’est pas trahir un secret que de dire que le Groupe La Poste s’intéresse de près, de très très près à l’Internet des Objets. Je ne vais pas revenir sur les raisons de cette stratégie qui semble de prime abord bien éloignée de l’acheminement postal et vous redirige vers la lecture de cet article.  Cette année encore La Poste poursuit sa démarche d’accompagnement des start-up innovantes de l’Internet des Objets. C’est pour cela qu’a été lancé le 17 mai dernier la 2^ème édition de son concours French IoT.

Plusieurs thématiques sont couvertes par ce concours. Chacune d’entre elle est soutenue par un partenaire de La Poste qui joue le rôle de parrain ou de mentor pour les Start-up. Chaque sponsor aide au développement des objets ou services connectés dans leurs métiers respectifs. On retrouve ainsi BNP Paribas Real Estate pour l’habitat, Boulanger pour le commerce et la distribution, Derichebourg Multiservices pour les services aux entreprises et enfin Malakoff Médéric pour la santé. Par rapport à l’année dernière on pourra noter que les sponsors Legrand et Atol les opticiens ont été remplacés par Boulanger et Derichebourg.

Le 16 lauréats de l’IoT sont…

C’est près de 280 candidatures ont été reçues pour ce concours, Cela représente 3 fois plus de candidatures que l’année dernière. Tous ces dossiers ont été étudiés pendant 1 mois par près de 186 experts numériques répartis sur l’ensemble du territoire français. La sélection s’est opérée sur la base du caractère innovant de la solution, de la robustesse de la technologie, de l’appétence des utilisateurs, de la création de valeur ajoutée et de la qualité de l’équipe. Ils ont été épaulés par 500 salariés du Groupe La Poste et des 4 groupes sponsors. Au final ce sont 16 projets prometteurs qui ont été retenus:

CATÉGORIE SMART HOME & SMART CITY

 Sponsorisée par BNP Paribas Real Estate

• MyxyPod, l’enceinte multi-room et domotique contrôlée par la voix (Myxyty),
• Sensifall, le sol électronique sensible et connecté e-santé,
• SpinalCom, la solution intelligente de gestion des incendies dans le smart building (SpinalCom),
• Ween, le thermostat intelligent « life responsive » (Ween).

CATÉGORIE COMMERCE CONNECTÉ & DISTRIBUTION

Sponsorisée par Boulanger

• Biotraq, la traçabilité-qualité à base d’IoT pour limiter le gaspillage des denrées périssables (Biotraq),
• Catspad, la solution connectée pour prendre soin de nos amis les chats (Catspad),
• Icare, le dispositif d’identification personnel, universel et autonome,
• My Jomo, le badge connecté personnalisable en temps réel (my Jomo),
• TwinswHeel, le droïde autonome disruptif, livreur de colis en zones urbaines.

CATÉGORIE SMART FACILITIES AUX ENTREPRISES

Sponsorisée par Derichebourg Multiservices

• Axible, le cube connecté multifonctions pour un service interactif et à la carte (Axible),
• Mapwize, la plateforme de cartographie indoor pour guider à l’intérieur de chaque bâtiment (Mapwize),
• Silent Space, le dispositif nomade de masquage sonore dédié à l’amélioration des conditions de travail acoustiques (Silent Space).

CATÉGORIE SANTÉ

Sponsorisée par Malakoff Médéric

• Axelife le bracelet connecté qui sauve des vies en détectant les dysfonctionnements cardiaques (Axelife),
• Fingertips, avec son coussin intelligent Viktor, destiné aux personnes en perte d’autonomie (Fingertips),
• Life Plus, la solution santé sécurité de maintien à domicile et suivi des maladies chroniques (Life Plus),
• Noacare avec Noa, le compagnon connecté et ludique qui prend soin des enfants asthmatiques (Noacare).

En route pour… l’accélération

Les 16 lauréats du concours ne vont pas chômer. ils vont pouvoir profiter maintenant d’un programme intensif qui démarre dès cet été et qui vise à accélérer leur passage à l’échelle industrielle grâce aux groupes sponsors. Ils pourront se développer et créer de services à forte valeur ajoutée, connectés bien entendu au Hub Numérique de La Poste.

Le fait de faire partie de la French IoT Academy c’est pour les 16 lauréats pouvoir bénéficier de :

1. Un bootcamp du 22 août au 26 août, organisé en partenariat avec le Hub Institute et les équipes de DOCAPOST IoT, afin de challenger les projets de chaque start-up, favoriser de nouvelles synergies au sein de la communauté French IoT et partager une vision complète de l’entrepreneuriat.
2. Un coaching one-to-one et reverse mentoring sur plusieurs mois (4 à 6 mois), en partenariat avec Whyers afin d’aider les start-up à se dépasser et atteindre de nouveaux objectifs de développement.
3. Un pilote d’expérimentation mis en place en partenariat avec le grand groupe sponsor afin de valider le passage du prototype à une solution commercialisable.
4. Une préparation jusqu’au CES© 2017 réalisée par les équipes Innovation de DOCAPOST IoT (préparation des scénarios d’usage, démonstrations, séance de networking, etc.).
5. Un stand d’exposition au prochain CES® du 5 au 8 janvier 2017 à Las Vegas.
6. Un accès gratuit pendant une année consécutive au Hub Numérique de La Poste pour le développement de nouveaux usages.

Bravo et bonne chance à toutes ces start-up ! On aura sûrement l’occasion de croiser à différente occasions jusqu’au CES!

La sélection French IoT 2016 de La Poste en route pour le CES 2017

Cet article vous a été concocté par Abavala !!!

Essayez un peu de vendre quelque chose qui n’est pas trop connu. Vous verrez c’est « un peu » difficile. Côté vendeur, il faut savoir bien présenter le produit, l’expliquer et lui construire une histoire. Si ce type de produit est également disponible chez la concurrence il faut pouvoir avoir de solides arguments à apporter aux questions de comparaison et de différentiation. Côté acheteur il faut comprendre ce que l’on veut ou ce que l’on est en train de nous présenter. On dit souvent que l’on explique bien que ce que l’on a bien compris. La Smart Home n’échappe pas à cette règle. Certains industriels du secteur de la maison ont compris que pour vendre des résidences dotées de Smart Home il fallait tout d’abord débuter par la case pédagogie en commençant par donner une définition claire à la Smart Home.

Le besoin de définir clairement ce qu’est une Smart Home a été clairement identifié par le réseau d’agent immobiliers Coldwell Banker. Fondé en 1906 cette entreprise est devenue depuis l’un des plus importants réseaux d’agences immobilières au monde et couvre à ce jour pas moins de 52 pays.

Le réseau immobilier s’est rapproché de CNET, une solide et réputée source d’information en ligne traitant de tous les aspects liées aux technologies pour les consommateurs, afin de définir ce qu’est aujourd’hui ce que l’on appelle en français la maison connectée ou la maison communicante.  La définition doit pouvoir servir aux agents immobilier sur le terrain, mais également aux acheteurs. Elle doit permettre d’identifier avec précision les Smart Homes.

« La définition fournira une désignation claire et unifiée conçue pour faire face à l’évolution rapide de la technologie dans la maison« , explique la société dans un communiqué de presse. Dans les listings de propriétés, il est prévu que celles qui répondent à la définition d’une Smart Home seront identifiés par une icône spécifique sur les sites Web canadiens et américains de la société. Cela permettra aux consommateurs de pouvoir non seulement identifier mais également rechercher facilement ces Smart Homes.

L’entreprise compte également sur cette définition pour éduquer la population d’acheteurs et de vendeurs afin de leur permettre de comprendre ce que peut apporter une maison connectée en terme de confort, sécurité, économies, praticité,… Comme la définition du terme ne pourra pas être suffisante, Coldwell Banker compte également sur un partenariat avec le CEDIA, l’association commerciale mondiale pour le marché de la technologie au servie de la maison.

Cette association apportera des formations aux agents agréés de l’entreprise immobilière via leur programme Coldwell Banker University. L’entreprise estime : « en tant qu’ambassadeurs de la maison, il est impératif pour nos agents affiliés d’apprendre sur les produits pour la Smart Home afin de pouvoir fournir des conseils exceptionnels aux acheteurs intéressés par l’intégration de la maison intelligente.« 

Au programme de cette formation, le CEDIA apportera toutes ses compétences pour que les agents immobiliers aient un regard approfondi sur l’évolution de la technologie au service de la maison et de la montée récente de la Smart Home. Un accent particulier sera apporté sur la façon dont les produits de la Smart Home sont en train de changer la façon dont nous vivons et interagissons avec nos maisons. Un beau programme qui a compris qu’il faut cibler les usages.

Pour Coldwell Banker et CNET la Smart Home c’est cela :

Smart home: une habitation qui est équipé de produits connectés à un réseau (alias ‘produits intelligents’ connectés via Wi-Fi Bluetooth ou des protocoles similaires) afin de contrôler, automatiser et optimiser les fonctions telles que la température, l’éclairage, la sécurité, la sûreté ou les loisirs soit à distance via un téléphone, une tablette, un ordinateur ou un système séparé au sein de la maison elle-même.

Afin de pouvoir être qualifiée de Smart Home, la propriété doit avoir une fonction intelligente de sécurité qui soit contrôle l’accès ou surveille la propriété soit offre une fonctionnalité de gestion de la température, ainsi que deux autres à partir d’une liste variée, en plus d’une connexion Internet fiable. 

Une Smart Home doit donc avoir une connexion Internet (cable, satellite, fibre ou ADSL), au moins 3 catégories de fonctionnalités et l’une d’entre elle doit obligatoirement être la sécurité ou la gestion de la température.

La liste des catégories de fonctionnalités est la suivante:

• Eclairage (ampoules connectées ou systèmes complets d’éclairage)
• Sûreté (détecteur d’incendies, détecteurs de monoxyde de carbone, veilleuses)
• Loisir (smart TV et servies de streaming)
• Électroménager (smart réfrigérateurs, smart lave-vaisselles, smart lave-linges)
• Chauffage / Climatisation (systèmes connectés de chauffage, ventilation et climatisation, smart ventilateurs ou évents)
• Extérieur (capteur pour plantes et systèmes intelligents d’arrosage)
• Sécurité (verrous connectés, smart alarmes ou caméras)
• Température (thermostats connectés)

Que pensez-vous de cette définition? Pensez-vous quelle corresponde au terme de Smart Home? Pour ma part je la trouve pas mal du tout. En effet, elle me plait car elle est simple et surtout elle ne parle pas trop de technologies ni de mise en oeuvre et cible uniquement les fonctionnalités et les usages.

Quoi qu’il en soit, chez Coldwell Banker ils mettent les moyens et ont l’intelligence de se saisir de ce marché avec une démarche axé sur la pédagogie, avec une approche liée aux usages, dans une optique de pouvoir expliquer au final ce qu’ils ont compris de la réalité du secteur et non pas des fantasmes qui l’entourent.

Acheteurs / vendeurs : le besoin de définir ce qu’est une Smart Home

Cet article vous a été concocté par Abavala !!!

Suivre les nouvelles technologies c’est bien. Savoir dire au revoir aux anciens systèmes qui tirent leur révérence c’est important également. Il est donc temps de saluer le départ du magnétoscope qui se dirige à grand pas vers le rayon des technologies abandonnées. Après le minitel, les cabines téléphoniques ou encore les télécartes c’est maintenant une technologie de la même époque qui tire sa révérence.  Moment de nostalgie pour ceux et celles qui ont connu les années 80-90.

Tout le monde ne se souviendra pas forcément des soirées passées devant le téléviseur (à tube cathodique forcément) à regarder un film sur vidéocassette VHS. Pour lire ces grosses cassettes, la cassette vidéo, aussi appelée vidéocassette ou plus familièrement K7 on devait utiliser un lecteur que l’on appelait le magnétoscope. On le branchait sur le téléviseur grâce à la prise péritel. Les plus évolués étaient capables de lire les différents formats d’enregistrements : l’allemand PAL, le français SECAM ou l’américain NTSC.

Et tant qu’on y est on peut également citer quelques noms, forcément barbares, de formats de cassette vidéo :

• Betacam
• Betamax
• Hi-8
• S-VHS
• S-VHS-C
• SV
• U-matic
• V2000
• VCR
• VCR-LP
• VHS
• VHS-C
• Video 8

Côté performances, les cassettes les plus répandues, les VHS on vu leur format arriver sur le marché en en 1976. Elles présentaient une capacité d’enregistrement de 30 minutes à 5 heures de programmes en fonction des modèles. Les avancées technologiques aidant, les lecteurs sont devenus capables de doubler cette durée d’enregistrement, permettant ainsi de conserver jusqu’à 10 heures de vidéo sur une seule cassette! Au détriment de la compatibilité avec d’autres marques de lecteurs…

A l’heure où le support physique disparaît en faveur de la vidéo à la demande ou le Streaming, les derniers utilisateurs de Blu-ray et autres DVD pourront consoler ceux qui devaient attendre que le film soit rembobiné avant de le stocker dans son boitier en plastique en espérant que le temps n’altère pas la bande magnétique support de l’oeuvre.

L’histoire retiendra que le coup de grâce de cette technologie sera donné par l’entreprise Funai. Elle fabriquait des magnétoscopes VHS depuis 1983. Il s’agit là du dernier fabricant de magnétoscopes. Et il vient d’annoncer qu’il cessera de produire ces appareils à la fin de ce beau mois de juillet 2016. Cette disparition n’est pas une grande surprise, il faut être honnête, car le magnétoscope était un peu le dernier bastion d’une technologie obsolète en voie d’extinction.

Le DVD puis le Blu-ray ne sont pas étrangers à la disparition de cette technologie qui est apparue en 1968. L’industrie du cinéma ne l’appréciait trop non plus car la duplication de cassettes étant d’une simplicité enfantine. Des loueurs de vidéocassettes indélicats ont pu en faire les frais. Face » aux nouveaux supports, cette baisse de popularité et de demande, combiné à la difficulté de trouver des fournisseurs de composants ont pesé dans la décision de mettre fin à la production. Pour vous donner une idée en 2015, cette dernière usine qui travaille pour de nombreuses marques, a produit 750.000 magnétoscopes contre 15 millions par an il y a une trentaine d’années.

Avec l’arrivée des supports numérique, tous les fabricants ont peu à peu arrêté leurs productions. Elle c’est tout naturellement centrée chez le japonais Funai, et dans des usines chinoises. Funai etait également sous-traitant pour d’autres marques. On dit que le marché subsistait sous perfusions grâce aux quelques consommateurs qui en utilisaient toujours pour visionner les cassettes de famille. Il va falloir sauvegarder ses souvenirs ailleurs.

Je n’avais pas trop regardé avant ce soir mais j’ai pu constater que certains sites marchands n’en proposent déjà plus. Des mastodontes tels qu’Amazon n’en propose plus qu’une poignée de ce que l’on appelait jadis »magnétoscope ».

Et pour les plus jeunes:

Il est temps de dire au revoir au magnétoscope (si ce n’est pas déjà fait)

Cet article vous a été concocté par Abavala !!!

Aujourd’hui je vous propose de faire connaissance avec un agriculteur un peu spécial. Autant vous dire tout de suite qu’il est moitié drone, moitié robot. Il s’appelle SwagBot. Il s’agit du dernier robot mis au point par l’ACFR, l’Australian Centre for Field Robotics. Le robot agricole SwagBot vient de réussir avec succès ses examens qui consistaient à le mettre en compagnie des plantes, du relief et du cheptel. Il a brillamment réussi son premier essai sur le terrain.

Le robot agricole SwagBot a donc tout dernièrement démontré avec succès sa capacité à fonctionner dans un environnement chaotique dû aux cahots du terrain. Il a également brillamment géré la situation qui consistait être confronté au du bétail sauvage. Ce n’est pas de tout repose car il faut analyser la situation, les bêtes  une par une ou dans leur ensemble. Tout en faisant cela il ne faut pas tomber dans un piège naturel: un tronc d’arbre infranchissable, un plan d’eau étendu, un dénivelé un peu trop prononcé. Si le cheptel le franchit, le robot doit pouvoir en faire de même!

Le terme SwagBot vient de « swagmen ». En Australie (ou en Nouvelle Zélande) il s’agit du terme désigant quelqu’un qui voyage de ferme en ferme afin d’offrir ses services et d’entreprendre diverses activités agricoles.

Afin d’aider les humains à gérer leur ranch, l’université de Sydney conçoit en ce moment un robot capable de traverser quelques obstacles communs en Australie: collines, vallées, champs, falaises, rivières, marécages. Il ne doit pas être perturbé non plus par des crocodiles, ornithorynques, échidnés, koalas, émeus, kangourous, wallabies, wombats et dingos… pour ne citer que quelques « obstacles traditionnels » de ces lointaines contrées australiennes…

Ce robot électrique et amphibie, n’est pas encore autonome. Il est en revanche déjà doté de vision nocturne afin de déjà pouvoir surveiller les animaux. Les chercheurs continuent à travailler afin de déterminer quels types de systèmes de détection ils auront besoin de lui implémenter afin de lui permettre d’effectuer toutes les variété d’activités différentes qu’il aura à assumer. On peu leur souffler l’idée d’utiliser l’IoT dédié aux vaches tel qu’on a pu déjà le voir.

Selon les capteurs qui équiperont au final SwagBot, il pourrait être utilisé pour suivre les animaux à la trace, surveiller leur état de santé en utilisant des capteurs thermiques ou par échantillonnage direct de leurs excréments, effectuer des mesures de la biomasse, ou même participer au désherbage. Le projet est prévu pour durer encore pendant au moins deux ans, histoire entre autres de peaufiner le développement de l’autonomie du robot autant que possible.

Les futurs essais sont d’ores et déjà programmés. Ils porteront sur la mise en oeuvre de la recherche appliquée aux activités agricoles autonomes. Cela comprend bien évidemment le déplacement en toute autonomie dans ces contrés étendues aux divers pièges mais également sa mission principale qui est le suivi et l’interaction avec les plantes et les animaux. Un fort beau programme l’attend pour qu’il puisse un jour apporter une aide dans l’agriculture.

La vidéo qui résume tout cela est un peu longue mais elle vaut le coup si vous avez 7 minutes devant vous. Je vous propose, si vous êtes préssés de vous la surveillance des animaux à 1:15, le franchissent des obstacles à 1:40, la coordination avec un drone aérien à 2:40, le franchissement de terrains accidentés à 3:50,  le regroupement de bétail à 4:45 ou le franchissement de l’eau en démonstration de son côté amphibie à 6:40.

Le robot agricole SwagBot est dans le pré

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Parmi les voitures les plus évoluées en termes de communication on retrouve en très bonne place les modèles de la marque Tesla. Si vous n’êtes pas convaincus, je vous laisse lire ou relire le petit compte rendu la concernant à l’occasion du  au Salon de l’Automobile. Les voitures électriques de la marque continuent de voir leurs performances et leurs services s’améliorer grâce à de multiples mises à jours logicielles. Parmi l’une d’elles il y a EVE Connect, un service en ligne qui ouvre des possibilités à cette innovante voiture. Lier sa smart Home avec sa Smart Car tel est la promesse de cette solution pour peu que la voiture soit une Tesla Model S, Model X, ou Model 3 et que vous ayez accès à IFTTT.

EVE Connect est une plateforme qui permet de relier tout un tas d’informations disponibles sur le net directement sur le tableau de bord de votre Tesla. La Météo, les news, les mails, les réseaux sociaux,…et maintenant votre smart maison peut être connectée à votre smart voiture.

Ce système se décrit comme étant l’une des solution les plus avancées de connexion entre la maison connectée et la voiture communicante. Plusieurs partenaires de la Smart Home ont été approchés par EVE Connect qui propose au catalogue tout un tas de solutions pour la maison connectée. Parmi elles on peut citer Nest, Lutron, Philips Hue, Kwikset ou encore Shlage. Si vous êtes un peu plus DIY vous pourrez bien sur profiter également du Channel IFTTT qui lui est destiné pour le relier au Channel Makers.

EVE Connect est une nouvelle application de tableau de bord pour les Tesla qui à pour ambition d’innover dans les services proposés à la fois à la voiture mais également à son conducteur. En intégrant plusieurs écosystèmes pour la maison connectée, cette technologie permet aux utilisateurs de contrôler depuis leurs véhicules des éléments de leur maison connectée tels que: les serrures, portes de garage, les lumières, les thermostats, les alarmes et bien d’autres dispositifs de la smart home. Tout cela se fait depuis le tableau de bord central du véhicule.

Pour ceux qui souhaitent aller plus loin ils peuvent également paramétrer les interactions afin que les fonctions souhaitées puissent être lancées et être automatisées lorsque des événements précis sont déclenchés.  La voiture pourra donc signifier la maison lorsqu’elle quitte ou rentre au domicile ce qui permet de palier à d’éventuels oublis de lumières allumées ou de portails restés ouverts par exemple.

Les Channel dédié IFTTT pour EVE lui permet d’interagir avec tous les service intégrés à ce jour dans le moteur de règles en ligne:

EVE Connect n’est pas le premier service à proposer ce lien entre la voiture et la maison. C’est un peu ce que BMW proposait avec ConnectedDrive. La passerelle IFTTT est encore là pour jouer le rôle de liant permettant de faire discuter 2 mondes distincts. Heureusement que de tels services existent. Il doit être terriblement frustrant de posséder une maison communicante et une voiture connectée et que ces 2 objets dits « intelligents » ne sachent pas discuter entre eux… Pour les autres véhicules et si vous êtes adeptes du mode DIY, vous pouvez également regarder du côté de solutions telles que Xee.

La vidéo est un peu la mise en scène d’un monde merveilleux où tous les objets connectés discutent ensemble. Il ne me reste plus qu’a trouver une Tesla pour tester le système et voir si ce qui est promis est vrai…

Lier sa Smart Car Tesla et sa Smart Home avec EVE Connect

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Nombreuses personnes annoncent que d’ici 2020, l’Internet des Objets représentera 29 milliards d’appareils connectés. Certaines études annoncent plus et d’autres moins. Parmi ces appareils connectés il y en a qui permettent de créer des Smart homes ou des maisons communicantes. L’infographie du jour tente de mettre en lumière la part de la promesse du développement de l’IoT qui revient au logement connecté.

Dans l’IoT à destination des particuliers on parle de e-santé, de la voiture connectée, de maison ou encore de ville connectée.  Tout le monde s’accorde à voir dans l’internet des objets un véritable potentiel de croissance pour l’économie mais également un pourvoyeur de gains divers et variés pour les consommateurs : santé, sécurité, confort, économies, sûreté, …

Ce secteur naissant est en train de faire apparaître un autre sujet: celui de la data. Aujourd’hui on estime que 90% des données générées par ces objets connectés  et par l’IoT en général ne sont pas utilisés. De nouveaux métiers font leur apparition pour la traiter et la valoriser afin d’apporter toujours plus de services.

Bouygues Immobilier, qui propose l’infographie du jour, annonce que l’un des domaine en plein essor est la maison connectée, plus généralement appelée le logement connecté. En effet il faut garder en tête que la Smart Home concerne bien tout type de logement: maisons, appartements, chalets, châteaux, … Ces logements n’ont pas non plus besoin d’être neufs ni de nécessiter de lourds travaux pour pouvoir bénéficier de ces technologies en faveur de l’habitat et de ses occupants. Bouygues avance que : « 72% des Français ont déjà entendu parler du domicile connecté, 69% d’entre eux estiment qu’il représente un vrai gain de temps ! »

Si Bouygues Immobilier se lance dans la communication autour de la Smart Home ce n’est pas un hasard. L’entreprise vient de sortir sa solution pour les logements connectés appelée FLEXOM. Comme les autres acteurs de la place ils participent donc maintenant à l’information du consommateur et à la démocratisation de la domotique.

L’infographie de Bouygues Immobilier est disponible ci-dessous. Elle propose de s’arrêter un moment sur l’état des lieux de l’IoT dédié aux logements.

L’Internet des Objets appliqué au Logement Connecté #infographie

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Souvenez-vous,  c’était il y a quelques temps: la folie Google Glass. L’entreprise Revolv faisait le buzz en démontrant l’utilisation des Google Glass pour piloter la Smart Home. On voyait alors un employé se promener dans les bureaux de Revolv et agir sur une lumière, une enceinte connectée en parlant à ses lunettes. Bon. Je ne sais pas si l’exemple est flatteur et la comparaison souhaitée car depuis les Google Glass ne sont plus vendues aux particuliers et Revolv a disparu de la circulation intégrée dans les rangs de Nest… Quoi qu’il en soit le même type de vidéo est mis en avant afin de montrer comment la Smart Home et HoloLens, les lunettes de Microsoft, peut être utilisés de manière conjointes grâce à IoTxMR.

C’est dans le cadre d’un Hackathon proposé par Microsoft autour des HoloLens qui s’est tenu récemment à San Francisco, qu’un des participants a relevé le défi de créer un moyen de contrôler vos appareils communicants à domicile à l’aide de la réalité augmentée. Appelé IoTxMR, Cette application avait pour but de valider le concept qui permet à l’utilisateur en regardant simplement les commandes d’un appareil à piloter d’en prendre le contrôle à l’aide de gestes dans un monde en réalité augmentée.

Comme le montre la démonstration de force de la technologie HoloLens, non seulement l’application permet de contrôler les appareils en se basant sur la réalité augmentée. L’idée était d’avoir via un mix d’appareils Android /Arduino connectés aux Hololens, une démonstration d’une expérience utilisateur dans laquelle il peut contrôler les appareils domestiques connectés simplement en les regardant et en utilisant la commande gestuelle.

Une autre caractéristique de cette démonstration est la très intéressante capacité à pouvoir connecter et virtuellement relier différents périphériques entre eux pour créer un réseau interdépendant personnalisé. Des scénarii temporaires à la demande. Ou mieux un mode interactif de création de scénarii!

La démo inclue également une fonctionnalité appelée par le développeur « mode zen virtuel ». Il s’agit d’un endroit physique de la maison dans lequel on peut se rendre (un couloir par exemple) et, grâce à la magie des lunettes à réalité augmentée de Microsoft, et où l’espace qui vous entoure est peuplé de corps flottants et ronds remplis de lumière et de tonalités sonores au pouvoir relaxant.

Bien qu’il ne s’agisse que d’un prototype valant « proof of concept », IoTxMR apporte une proposition concernant ce que pourrait être une Smart Home regardée via le prisme de la réalité augmentée et pilotée par ce biais. Il faudra tout de même que le wearable perde du volume et du poids pour qu’il soit plus naturellement porté dans son intérieur. On peut faire confiance aux concepteurs des HoloLens pour ne pas en rester là.

Je vous laisse avec la vidéo qui est une démonstration aboutie que celle des Google Glass à l’époque mais qui se laisse tout de même bien regarder.

Contrôler sa Smart Home avec HoloLens et IoTxMR

Cet article vous a été concocté par Abavala !!!